Révéler sa personnalité

Donner un sens à sa vie

La finalité de la thérapie brève…

La thérapie brève se distingue de la psychothérapie classique en terme de temps : là où ces méthodes demandent plusieurs années de travail, les thérapies brèves demandent un nombre de consultations plus restreint.

 

La thérapie brève s'emploie à atteindre un objectif donné par l'utilisation d'outils particuliers. J'ai fais le choix d'utiliser la PNL, l'hypnose ericksonienne et le généosociogramme.

 

… et ses applications pratiques

La thérapie brève vous est utile dans les cas de :

  

- troubles de l’alimentation : anorexie, boulimie, hyperphagie, excès de poids... ;

- troubles nerveux : agressivité, colère, révolte, nervosité, hyperactivité, TIC (mouvement répétitif incontrôlable), TOC (trouble obsessionnel compulsif)... ;

- troubles de l’humeur : stress, angoisse, dépression, insomnie, démotivation, tristesse, mélancolie, des phobies... ;

- difficultés relationnelles : séparations, ruptures, deuils... ;

- difficultés de l’être : confiance en soi, estime de soi, doute de soi, timidité, loyauté familiale, schémas répétitifs... ;

- désordres physiques : asthme, bégaiement, douleur, eczéma, fatigue, insomnie, migraines ;

- addictions : tabac, alcool, cannabis...

Programmation neurolinguistique et hypnose ericksonienne

A la différence de la thérapie classique où l'on cherche à comprendre « pourquoi » le problème s'est installé, en thérapie brève le thérapeute cherche à savoir « comment le résoudre » ; il est directement axé sur la manière de mettre en place le changement.

                                              

On a souvent cru qu'il fallait de nombreuses années d'analyse pour faire disparaître un problème fortement ancré dans le passé.

Aujourd'hui, grâce aux découvertes de la neurobiologie, on sait que le changement peut être rapide, même si la source du symptôme remonte à plusieurs années.

Évolution de ces outils

Le développement de la PNL et de l'hypnose ericksonienne à connu plusieurs phases :

 Une première période, dite "comportementale", proposait de changer un comportement inadéquat (peur, angoisse...) par un autre jugé plus approprié.

 Une période "cognitive" a suivi : les thérapies se focalisaient alors sur les croyances et les pensées négatives dans le but de les transformer.


 

À ce jour, les thérapies brèves ajoutent aux données comportementales et cognitives la notion de "gestion émotionnelle" pour initier le changement.

Il s'agit d'utiliser la structuration des pensées et des émotions afin de s'engager dans des actions pragmatiques de changement, en adéquation avec le désir et les valeurs du patient.

C'est en prenant compte l'intégralité de ces informations et en les associant à l'objectif recherché que l'engagement thérapeutique devient moteur d'engagement.

Le sens de votre démarche

En thérapie brève vous ne venez pas consulter pour « comprendre d'où vient le problème », mais plutôt pour savoir « comment le supprimer ».

Bien entendu, les temps consacrés à l'analyse de l'évolution de la thérapie permettent

de mettre en lien les causes et les effets du vécu personnel, de comprendre le pourquoi.

Cependant, l'essentiel du travail thérapeutique vise à anagrammer de nouvelles stratégies positives, constructives et écologiques pour le patient.